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Tableaux des récupérations et des types d'exercices
Filières énergétiques prépondérantes en fonction de la durée de l’effort
Capacité Anaérobie Alactique : de 0 . 12 secondes
Puissance Anaérobie Lactique : de 12 à 30 secondes
Capacité Anaérobie Lactique : de 30 secondes à 2 minutes
Puissance Aérobie : de 2 minutes à 6 minutes
Capacité Aérobie : dés 6 minutes
Puissance Anaérobie Lactique : de 12 à 30 secondes
Capacité Anaérobie Lactique : de 30 secondes à 2 minutes
Puissance Aérobie : de 2 minutes à 6 minutes
Capacité Aérobie : dés 6 minutes
Temps de récupération
- Rétablissement des réserves d'O² : de 10 secondes à 1 minute
- Rétablissement des réserves de phosphagène du muscle (A.T.P. et C.P) : de 2 minutes ( 70% en 30" ) à 5 minutes
- Remboursement de la composante alactique de la dette d'O² : de 3 minutes ( 50% en 30" et 75% en 1' 98,7% en 2'30" ) à 10 minutes
- Resynthèse des réserves de glycogène hépatique de "inconnu" : de 12 ou 24 heures
- Elimination de l'acide lactique du sang et des muscles : de 1 heure en récupération passive 30 minutes en récupération active(70 % en 15' ) a 1 heure (50 % en 25' ) à 2 heures
- Remboursement de la composante lactique de la dette d'O² : de 30 minutes à 1 heure
- Resynthèse du glycogène musculaire : de 10 h à 48 après un exercice continu de : 5h a 24h après un exercice par intervalles
Intensités des exercices | Durée | Type de récupération | Durée de récupération | Impact physilogiques |
---|---|---|---|---|
40 à 65 % VAM | 20 min | - | - | Endurance aérobie (Glycogène) |
65 à 75 % VAM | 20 min | Active | - | Endurance aérobie (Glycogène) + Puissance aérobie maximale (oxygéne) |
80 à 95 % VAM | 6 min X 3 | Passive | 1 min X 3 | Puissance aérobie maximale (oxygéne) + Capacité Lactique (ATP-CP) |
100 % VAM | 2 min X 4 | Passive | 3 min X 3 | Puissance aérobie maximale (oxygéne) + Capacité Lactique (ATP-CP) |
110 à 120% VAM | 15 sec X 4o | Passive | 15 sec X 40 | Puissance aérobie maximale (oxygéne) |
Courbe de la dépense en O²
Ce diagramme, l'un des classiques de la littérature sur la physiologie de l'effort démontre bien que si la courbe de la dépense en O² a une pente très faible, donc un temps de mise en route long, la dépense en oxygène croit quelque que soit le type d'exercice. On remarque également que la restructuration Anaérobie-Lactique (courbe An Al) démarre même au cours d'un exercice à dominante anaérobie alactique (courbe An L)