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Préparation mentale :
Souffrance et douleur
Souffrance et douleur
DESCRIPTION
L'idée n'est pas de supprimer la cause de la douleur, mais le ressenti. L'imagerie mental est utiliser pour guider le système nerveux central à décider si un stimulus est douloureux ou pas.
Trois grandes approche sont possibles :
1) Passage par l'objet :
- Rende la douleur manipulable en ce la représentant sous la forme d 'un objet mental (un image, un son, une sensation,... )
- Rendre objet mental tangible, en explorant les sous modalités (luminosité, volumes, chaleur), sans chercher a modifié quoi que ce soit
- Réduire cette objet pour le rendre moins prégnant, (éloignement, diminution du sa taille, diminution du volume, déplacement a l'extérieur du corps, …)
2) Métaphore
- Produire un récit symbolique, ou l'on a remplacer la douleur et son atténuation par des symboles
- Exemple schématique : Le soleil rouge (la douleur) ce couche (disparition de douleur)
- Vivre ce récit, doucement et dans tous ces détails, en imagerie mentale
Tous ces technique se fond en état de relaxation, vocaliser sur votre imaginaire.
2) Persuasion
- répéter en boucle une phase qui exprime une nouvelle croyance
- exemple : plus j'avance , plus cette sensation devient agréable et légère
UTILISATIONS
- Anticiper la gestion d'une douleur prévisible
- Réduire une douleur chronique
PRÉCAUTIONS D'UTILISATIONS
- La douleur est un signal d'alarme qu’il faut savoir écouter et comprendre.
- Ne pas utiliser sur une douleur donc la causse n'est pas diagnostiqué et traité
APPRENTISSAGE
-[à faire 2 fois] Pratiquer l’exercice audio "SED - EX1 metaphore soleil"
-[à faire 2 fois] Pratiquer l’exercice audio "SED - EX2 manip objet"
-[à faire 2 fois] Pratiquer l’exercice audio "SED - EX3 defenseur"
ENTRAINEMENT
- [a faire occasionnellement ] Pratiquer un des exercices si dessus mais sans le support audio
COMPRENDRE
Prendre un coup ou se blesser n'est pas douloureux en soi. C’est l’interprétation qu’en fait notre cerveau qui l’est.
Bien que nous ressentions la douleur dans notre corps, elle n’existe réellement qu’au niveau cérébral. La douleur est un processus qui englobe de multiples facteurs sous forme de signaux, fournis par de nombreux systèmes de notre organisme. Ces signaux bombardent le cerveau d’informations, que ce dernier filtre afin d’apporter la réponse la mieux adaptée. Les nerfs sont semblables à des câbles téléphoniques : ils transportent de nombreux types d’appels ou de signaux, mais le nombre total de signaux transportés à un même moment est limité. Le contrôle et l’équilibre du système permettent de trier ces signaux. Un niveau intense de douleur pendant un court moment de stress peut générer un mécanisme de protection temporaire dans lequel une zone du cerveau inhibe les signaux de douleur dans la moelle épinière (sur le champ de bataille, par exemple, un soldat peut ne pas ressentir une blessure jusqu’à la fin d’un combat).
Deux individus atteints de la même blessure ressentiront souvent une expérience interne très différente. La recherche moderne sur la douleur insiste sur le fait qu’il existe de nombreux facteurs différents pour chaque individu qui déterminent les types de stimuli et quand ceux-ci sont douloureux. Voici certains de ces facteurs :
- Les croyances : penser qu’un mouvement n’est pas douloureux avant de l’effectuer peut modifier l’épisode de la douleur.
- Le contexte : dans quelles situations l’individu ressent-il de la douleur ?
- La posture : si la douleur accompagne toujours le mouvement en position debout, le même mouvement pourrait être réalisé sans douleur en position assise ou couchée.
- Les stimuli rivaux : effectuer des mouvements dans diverses positions visuelles ou vestibulaires peut altérer l’expérience de la douleur.
- L’état émotionnel : on peut éprouver moins de douleur en écoutant sa musique préférée qu’en étant en colère.
Ainsi, modifier cette perception de la situation, du mouvement ou de la posture douloureuse peut avoir des conséquences durables, tant d’un point de vue de l’amélioration que de l’aggravation de l’expérience de la douleur.
Facteurs qui ferment la porte à la douleur
- Le contexte : Mouvement, Chaleur/froid, Massage / Stimulation mécanique, Objectifs réalistes, Régime , Suppléments, Médicaments (anti-inflammatoires notamment),
- Les stimuli rivaux : Activités agréables, activités diverses, distraction
- L’état émotionnel : Optimisme , Concentration, Relaxation, Humour / Rire
Facteurs qui ouvrent la porte à la douleur
- Le contexte : (Inactivité, manque du sommeil, Mauvaise alimentation, Réactions inflammatoires aux aliments, nicotin, environnements stressants, relations difficiles, Isolement)
- Les stimuli rivaux : Concentration sur la douleur, Activités désagréables
- L’état émotionnel : Soucis, Angoisse, ennuie, stress, dépression, colère
L'idée n'est pas de supprimer la cause de la douleur, mais le ressenti. L'imagerie mental est utiliser pour guider le système nerveux central à décider si un stimulus est douloureux ou pas.
Trois grandes approche sont possibles :
1) Passage par l'objet :
- Rende la douleur manipulable en ce la représentant sous la forme d 'un objet mental (un image, un son, une sensation,... )
- Rendre objet mental tangible, en explorant les sous modalités (luminosité, volumes, chaleur), sans chercher a modifié quoi que ce soit
- Réduire cette objet pour le rendre moins prégnant, (éloignement, diminution du sa taille, diminution du volume, déplacement a l'extérieur du corps, …)
2) Métaphore
- Produire un récit symbolique, ou l'on a remplacer la douleur et son atténuation par des symboles
- Exemple schématique : Le soleil rouge (la douleur) ce couche (disparition de douleur)
- Vivre ce récit, doucement et dans tous ces détails, en imagerie mentale
Tous ces technique se fond en état de relaxation, vocaliser sur votre imaginaire.
2) Persuasion
- répéter en boucle une phase qui exprime une nouvelle croyance
- exemple : plus j'avance , plus cette sensation devient agréable et légère
UTILISATIONS
- Anticiper la gestion d'une douleur prévisible
- Réduire une douleur chronique
PRÉCAUTIONS D'UTILISATIONS
- La douleur est un signal d'alarme qu’il faut savoir écouter et comprendre.
- Ne pas utiliser sur une douleur donc la causse n'est pas diagnostiqué et traité
APPRENTISSAGE
-[à faire 2 fois] Pratiquer l’exercice audio "SED - EX1 metaphore soleil"
-[à faire 2 fois] Pratiquer l’exercice audio "SED - EX2 manip objet"
-[à faire 2 fois] Pratiquer l’exercice audio "SED - EX3 defenseur"
ENTRAINEMENT
- [a faire occasionnellement ] Pratiquer un des exercices si dessus mais sans le support audio
COMPRENDRE
Prendre un coup ou se blesser n'est pas douloureux en soi. C’est l’interprétation qu’en fait notre cerveau qui l’est.
Bien que nous ressentions la douleur dans notre corps, elle n’existe réellement qu’au niveau cérébral. La douleur est un processus qui englobe de multiples facteurs sous forme de signaux, fournis par de nombreux systèmes de notre organisme. Ces signaux bombardent le cerveau d’informations, que ce dernier filtre afin d’apporter la réponse la mieux adaptée. Les nerfs sont semblables à des câbles téléphoniques : ils transportent de nombreux types d’appels ou de signaux, mais le nombre total de signaux transportés à un même moment est limité. Le contrôle et l’équilibre du système permettent de trier ces signaux. Un niveau intense de douleur pendant un court moment de stress peut générer un mécanisme de protection temporaire dans lequel une zone du cerveau inhibe les signaux de douleur dans la moelle épinière (sur le champ de bataille, par exemple, un soldat peut ne pas ressentir une blessure jusqu’à la fin d’un combat).
Deux individus atteints de la même blessure ressentiront souvent une expérience interne très différente. La recherche moderne sur la douleur insiste sur le fait qu’il existe de nombreux facteurs différents pour chaque individu qui déterminent les types de stimuli et quand ceux-ci sont douloureux. Voici certains de ces facteurs :
- Les croyances : penser qu’un mouvement n’est pas douloureux avant de l’effectuer peut modifier l’épisode de la douleur.
- Le contexte : dans quelles situations l’individu ressent-il de la douleur ?
- La posture : si la douleur accompagne toujours le mouvement en position debout, le même mouvement pourrait être réalisé sans douleur en position assise ou couchée.
- Les stimuli rivaux : effectuer des mouvements dans diverses positions visuelles ou vestibulaires peut altérer l’expérience de la douleur.
- L’état émotionnel : on peut éprouver moins de douleur en écoutant sa musique préférée qu’en étant en colère.
Ainsi, modifier cette perception de la situation, du mouvement ou de la posture douloureuse peut avoir des conséquences durables, tant d’un point de vue de l’amélioration que de l’aggravation de l’expérience de la douleur.
Facteurs qui ferment la porte à la douleur
- Le contexte : Mouvement, Chaleur/froid, Massage / Stimulation mécanique, Objectifs réalistes, Régime , Suppléments, Médicaments (anti-inflammatoires notamment),
- Les stimuli rivaux : Activités agréables, activités diverses, distraction
- L’état émotionnel : Optimisme , Concentration, Relaxation, Humour / Rire
Facteurs qui ouvrent la porte à la douleur
- Le contexte : (Inactivité, manque du sommeil, Mauvaise alimentation, Réactions inflammatoires aux aliments, nicotin, environnements stressants, relations difficiles, Isolement)
- Les stimuli rivaux : Concentration sur la douleur, Activités désagréables
- L’état émotionnel : Soucis, Angoisse, ennuie, stress, dépression, colère