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Glossaire
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La capacité aérobie représente la quantité totale d’énergie potentielle susceptible d’être fournie par voie oxydative .Comme elle dépend des réserves totales de substrats utilisables (ou «carburant » de l’organisme) : glycogène, glucose circulant, acides gras libres, voire même dans certaines circonstances, acides aminés... et bien sûr, de la totalité de l’oxygène (ou «comburant ») utilisé pour leur combustion, son évaluation directe est impossible. Par contre on peut indirectement en apprécier l’importance par l’évaluation de ses deux composantes que sont : la puissance maximale (PAM) et l’endurance (EA).
L’économie de locomotion (de course, de nage, de pédalage...) représente l’énergie pour se déplacer à une vitesse donnée ou mieux, à un pourcentage donné de VO2 max ou de la VAM.
Système énergétique d’origine anaérobie : il existe deux sources principales d’énergie anaérobie et les deux sont limitées par le volume d’énergie en réserve disponible. Ce sont le système ATP-PCr (anaérobie alactique) et le système glycolytique (anaérobie lactique).
Source ATP-PCr (Adenosine TriPhosphate – Phospho Creatine): Ce système de grande puissance intervient dans l’activité de forte intensité à court terme, qui ne dure généralement pas plus de 10 à 12 secondes. Passer des menottes ou monter des escaliers en courant sont des exemples d’activités qui feraient principalement appel au système ATP-PCr.
Source glycolytique :Ce système est un autre producteur d’énergie à forte puissance qui peut soutenir une activité de haute intensité. Les sous-produits sont l’acide pyruvique et l’acide lactique qui peuvent influencer la contraction musculaire et causer la fatigue. Ce système sert surtout aux activités qui durent entre 15 et 120 secondes et constitue l’un des éléments dominants lors d’altercations, de brèves poursuites, et des mouvements pour se mettre à l’abri.
Système énergétique d’origine aérobie : il fournit de l’énergie dans les activités de faible intensité. C’est la source de la majeure partie de l’énergie que nous utilisons pour fonctionner tout au long de la journée et le principal système qui intervient dans l’activité physique prolongée telle qu’une course sur de longues distances ou le déplacement avec un maître-chien sur une piste. Le système d’origine aérobie joue également un rôle crucial dans la récupération entre des efforts anaérobiques.
VO2max : La consommation maximale d'oxygène ou VO2max, est le volume maximal d'oxygène qu'un organisme peut consommer par unité de temps lors d'un exercice dynamique aérobie maximal. Le VO2max s'exprime habituellement en litres d'oxygène par minute (L/min). Afin de personnaliser la mesure et tenir compte des différentes constitutions la valeur observée est le plus souvent rapportée à l'unité de masse corporelle pour déterminer un VO2max dit « spécifique », qui s'exprimera alors en ml/min/kg. Cette dernière valeur est un excellent indicateur de la performance potentielle dans les épreuves d'endurance : plus elle est élevée, meilleure sera la performance éventuellement réalisée. Chez un sujet jeune et sain, on observe des VO2max de l'ordre de 45 ml/min/kg chez l'homme et 35 ml/min/kg chez la femme. Le premier test mis au point pour les sportifs a été le test de Cooper, lequel consiste à parcourir la plus grande distance possible en 12 minutes de course à pied (sur piste en principe). Le VO2max s'estime alors comme suit : VO2max (ml/kg/min) = [distance (en mètres) - 505]/45
PAM : La puissance aérobie maximale (P.A.M.) est la quantité maximale d’oxygène qu’un organisme peut utiliser par unité de temps (généralement par minute) au cours d’un exercice musculaire intense et d’une durée égale ou supérieure à quatre minutes. Elle correspond au VO2 max (V = débit ; O2 = oxygène ; max = maximal) ou consommation maximale d’oxygène.
EA : L’endurance aérobie (EA) est la fraction ou le pourcentage de VO2 max ou de la La puissance aérobie maximale (PAM). ou encore de la vitesse aérobie maximale (VAM) susceptible d’être maintenu au cours d’une épreuve d’une durée donnée. Par exemple courir pendant 12 min (test de Cooper) ou un 5000, un 10000,un 20000 m, un semi-marathon ou un marathon et calculer ensuite à quel pourcentage moyen de la VAM. correspond la performance réalisée. L’EA. est aussi la durée d’une activité susceptible d’être maintenue à un pourcentage donné de VO2 max, de la PAM.ou de la VAM. Par exemple fixer un pourcentage de la VAM. (85,90,95,ou 100 %) et chronométrer la durée maintenue à cette vitesse.
VAM : La vitesse aérobie maximale (VAM) ou puissance aérobie maximale fonctionnelle (PAMF) est la vitesse limite atteinte à VO2 max. Elle résulte de l’interaction de trois facteurs :1-de VO2 max, 2-du rendement de la locomotion (course, cyclisme, natation...) encore défini comme efficacité ou économie du mode de locomotion utilisé et de la motivation pour pouvoir l’atteindre VO2 max au cours d’une épreuve intense et prolongée.
Le glycogène est une molécule de la famille des glucides qui constitue une réserve de glucose stockée dans le foie et dans les muscles. On trouve du glycogène également dans les muscles où il est stocké puis dégradé en glucose lors d'efforts musculaires. Contrairement au cas du foie, le glucose ainsi produit par la cellule musculaire ne peut être utilisé que par cette même cellule.
Le lactate est l'un des produits clé de la production d'énergie dans les muscles Si l'apport en oxygène est supérieur à la consommation de sucre, alors la totalité de l'acide pyruvique produit est immédiatement consommée dans la partie mitochondriale. Si la consommation de sucre devient supérieure à l'apport en oxygène (efforts intenses) alors une partie de l'acide pyruvique produit en première partie de processus est réduite en acide lactique, ce qui permet au cycle oxydatif de la glycolyse de continuer. C'est une fermentation. La partie mitochondriale est ralentie, voire stoppée et le rendement énergétique s'en trouve très diminué. L'acide lactique s'accumule dans la cellule, puis passe la membrane cellulaire pour se retrouver dans la circulation sanguine. Le foie le recycle finalement en acide pyruvique. L'acide lactique disparaît environ une heure après l'effort (si pas de récupération active).
RM en musculation : En musculation, la charge maximale (RM) est utilisée pour planifier les entraînements. Elle est calculée avant un cycle d'entraînement. Pour calculer votre 1 RM prrenez une charge (un poid) lourde mais que vous pouvez soulever entre 4 et 10 fois, soulevée le plus grand nombre de repetitions possible.
la fourmule pour calculer du 1 RM est la suivant : ((0,0333 X nombre maximal de répétitions) + 1) X la charge déplacée = Votre "1 RM"
Exemple: 10 répétitions à 100 kg (11 répétitions infaisables) domme ((0,0333 x 10 + 1)) X 50 = 66,5 soit 1 RM = 66,5 KG.
85% de votre RM est alors de 56 kg.
L’économie de locomotion (de course, de nage, de pédalage...) représente l’énergie pour se déplacer à une vitesse donnée ou mieux, à un pourcentage donné de VO2 max ou de la VAM.
Système énergétique d’origine anaérobie : il existe deux sources principales d’énergie anaérobie et les deux sont limitées par le volume d’énergie en réserve disponible. Ce sont le système ATP-PCr (anaérobie alactique) et le système glycolytique (anaérobie lactique).
Source ATP-PCr (Adenosine TriPhosphate – Phospho Creatine): Ce système de grande puissance intervient dans l’activité de forte intensité à court terme, qui ne dure généralement pas plus de 10 à 12 secondes. Passer des menottes ou monter des escaliers en courant sont des exemples d’activités qui feraient principalement appel au système ATP-PCr.
Source glycolytique :Ce système est un autre producteur d’énergie à forte puissance qui peut soutenir une activité de haute intensité. Les sous-produits sont l’acide pyruvique et l’acide lactique qui peuvent influencer la contraction musculaire et causer la fatigue. Ce système sert surtout aux activités qui durent entre 15 et 120 secondes et constitue l’un des éléments dominants lors d’altercations, de brèves poursuites, et des mouvements pour se mettre à l’abri.
Système énergétique d’origine aérobie : il fournit de l’énergie dans les activités de faible intensité. C’est la source de la majeure partie de l’énergie que nous utilisons pour fonctionner tout au long de la journée et le principal système qui intervient dans l’activité physique prolongée telle qu’une course sur de longues distances ou le déplacement avec un maître-chien sur une piste. Le système d’origine aérobie joue également un rôle crucial dans la récupération entre des efforts anaérobiques.
VO2max : La consommation maximale d'oxygène ou VO2max, est le volume maximal d'oxygène qu'un organisme peut consommer par unité de temps lors d'un exercice dynamique aérobie maximal. Le VO2max s'exprime habituellement en litres d'oxygène par minute (L/min). Afin de personnaliser la mesure et tenir compte des différentes constitutions la valeur observée est le plus souvent rapportée à l'unité de masse corporelle pour déterminer un VO2max dit « spécifique », qui s'exprimera alors en ml/min/kg. Cette dernière valeur est un excellent indicateur de la performance potentielle dans les épreuves d'endurance : plus elle est élevée, meilleure sera la performance éventuellement réalisée. Chez un sujet jeune et sain, on observe des VO2max de l'ordre de 45 ml/min/kg chez l'homme et 35 ml/min/kg chez la femme. Le premier test mis au point pour les sportifs a été le test de Cooper, lequel consiste à parcourir la plus grande distance possible en 12 minutes de course à pied (sur piste en principe). Le VO2max s'estime alors comme suit : VO2max (ml/kg/min) = [distance (en mètres) - 505]/45
PAM : La puissance aérobie maximale (P.A.M.) est la quantité maximale d’oxygène qu’un organisme peut utiliser par unité de temps (généralement par minute) au cours d’un exercice musculaire intense et d’une durée égale ou supérieure à quatre minutes. Elle correspond au VO2 max (V = débit ; O2 = oxygène ; max = maximal) ou consommation maximale d’oxygène.
EA : L’endurance aérobie (EA) est la fraction ou le pourcentage de VO2 max ou de la La puissance aérobie maximale (PAM). ou encore de la vitesse aérobie maximale (VAM) susceptible d’être maintenu au cours d’une épreuve d’une durée donnée. Par exemple courir pendant 12 min (test de Cooper) ou un 5000, un 10000,un 20000 m, un semi-marathon ou un marathon et calculer ensuite à quel pourcentage moyen de la VAM. correspond la performance réalisée. L’EA. est aussi la durée d’une activité susceptible d’être maintenue à un pourcentage donné de VO2 max, de la PAM.ou de la VAM. Par exemple fixer un pourcentage de la VAM. (85,90,95,ou 100 %) et chronométrer la durée maintenue à cette vitesse.
VAM : La vitesse aérobie maximale (VAM) ou puissance aérobie maximale fonctionnelle (PAMF) est la vitesse limite atteinte à VO2 max. Elle résulte de l’interaction de trois facteurs :1-de VO2 max, 2-du rendement de la locomotion (course, cyclisme, natation...) encore défini comme efficacité ou économie du mode de locomotion utilisé et de la motivation pour pouvoir l’atteindre VO2 max au cours d’une épreuve intense et prolongée.
Le glycogène est une molécule de la famille des glucides qui constitue une réserve de glucose stockée dans le foie et dans les muscles. On trouve du glycogène également dans les muscles où il est stocké puis dégradé en glucose lors d'efforts musculaires. Contrairement au cas du foie, le glucose ainsi produit par la cellule musculaire ne peut être utilisé que par cette même cellule.
Le lactate est l'un des produits clé de la production d'énergie dans les muscles Si l'apport en oxygène est supérieur à la consommation de sucre, alors la totalité de l'acide pyruvique produit est immédiatement consommée dans la partie mitochondriale. Si la consommation de sucre devient supérieure à l'apport en oxygène (efforts intenses) alors une partie de l'acide pyruvique produit en première partie de processus est réduite en acide lactique, ce qui permet au cycle oxydatif de la glycolyse de continuer. C'est une fermentation. La partie mitochondriale est ralentie, voire stoppée et le rendement énergétique s'en trouve très diminué. L'acide lactique s'accumule dans la cellule, puis passe la membrane cellulaire pour se retrouver dans la circulation sanguine. Le foie le recycle finalement en acide pyruvique. L'acide lactique disparaît environ une heure après l'effort (si pas de récupération active).
RM en musculation : En musculation, la charge maximale (RM) est utilisée pour planifier les entraînements. Elle est calculée avant un cycle d'entraînement. Pour calculer votre 1 RM prrenez une charge (un poid) lourde mais que vous pouvez soulever entre 4 et 10 fois, soulevée le plus grand nombre de repetitions possible.
la fourmule pour calculer du 1 RM est la suivant : ((0,0333 X nombre maximal de répétitions) + 1) X la charge déplacée = Votre "1 RM"
Exemple: 10 répétitions à 100 kg (11 répétitions infaisables) domme ((0,0333 x 10 + 1)) X 50 = 66,5 soit 1 RM = 66,5 KG.
85% de votre RM est alors de 56 kg.
RM en musculation : La charge maximale en musculation ou 1RM est le poids maximum que l'on pourra soulever, tirer ou pousser lors d'un seul exercice. Il est nécessaire pendant la première séance de musculation de définir cette charge maximale afin de travailler durant les séances suivantes sur un pourcentage de celle-ci. Ce pourcentage et les charges d'entraînement associées seront dépendants de l'objectif visé